#PLIB2019 : Mon choix et mon retour d’expérience

Moshi Moshi !

Le PLIB 2019 touche à sa fin et avant- hier était le dernier jour pour voter pour son gagnant. Mon choix a été fait il y a un petit bout de temps maintenant en raison d’un énorme coup de cœur pour un des 5 finalistes. Je vous propose donc dans cet article de découvrir mon classement de ces 5 finalistes avec mes chroniques.

C’est Parti !

Le numéro 5, il n’a pas trop de suspense si vous me suivez, il s’agit de Comment le dire à la nuit de Vincent Tassy (chronique). Malheureusement je n’ai pas réussi à passer les premiers chapitres et je l’ai abandonné.

Comment le dire à la nuit

La dame en noir vivait seule dans son château. Elle ne pouvait pas mourir. De tout ce temps qu’elle avait, elle ne faisait rien. Et puis un jour, elle trouva sur son chemin le garçon aux cheveux blancs.
Elle l’enleva.
Elle voulait vivre une histoire. Une histoire d’amour et de nuit qui traverserait les siècles.

Le numéro 4, je dirais Le Dieu Oiseau d’Aurélie Wellenstein (chronique). Un roman que je pensais très prometteur mais qui malheureusement n’a pas atteint ma fibre de lectrice. J’ai trouvais beaucoup d’incohérence au niveau du héros et une ambiance un peu trop cru qui desserve à mon gout le récit.

Le Dieu Oiseau

Une île. Dix clans. Tous les dix ans, une compétition détermine quel clan va dominer l’île pour la décennie à venir. Les perdants subiront la tradition du « banquet » : une journée d’orgie où les vainqueurs peuvent réduire en esclavage, tuer, violer, et même dévorer leurs adversaires. Il y a dix ans, Faolan, fils du chef de clan déchu, a assisté au massacre de sa famille. Sauvé par le fils du chef victorieux, Torok, il est depuis lors son esclave et doit subir ses fantaisies perverses. Sa seule perspective d’avenir est de participer à la compétition de « l’homme-oiseau », afin de renverser l’équilibre des pouvoirs en place et de se venger. Qui du maître ou de l’esclave va remporter la bataille ? Quel enjeu pour les habitants de l’île ? Quel est le prix à payer pour la victoire ?

Le numéro 3, c’est Rouille de Floriane Soulas (Chronique). Un roman fantastique – Steampunk qui a piqué ma curiosité, un univers riche qui manque juste d’être un peu plus étendu. Ce livre manquerait de nous emmenez plus profondément dans ce Paris.

Rouille

Paris, 1897. Les plus grandes puissances européennes se sont lancées à l’assaut de la Lune et de nouveaux matériaux découverts sur le satellite envahissent peu à peu la Terre. Ces grandes avancées scientifiques révolutionnent l’industrie et la médecine, mais pas pour tout le monde. Et dans les faubourgs, loin de l’hyper-centre protégé par le dôme sous lequel vivent les puissants, le petit peuple de Paris survit tant bien que mal. Violante est une prostituée sans mémoire, ignorant jusqu’à son âge réel. Dans un monde où son désir de vérité passe après celui de ses clients et de ses patrons, la jeune fille tente de retrouver la trace de ses origines perdues. Alors qu’une vague de meurtres particulièrement horribles ensanglante la capitale, Satine, son amie et seul soutien, disparait dans d’étranges circonstances. Violante, elle, se voit offrir une porte de sortie à ce demi-monde violent qui la retient prisonnière, mais décide malgré tout de prendre part aux investigations.

Le numéro 2 est Terre de Brume de Cindy Van Wilder (Chronique). Un Young Adult certes classique mais très bien construit qui a réussit à me réconcilier avec la plume de l’autrice. J’ai aimé la magie, l’univers même si j’y ai trouvé des similitudes avec La Passe Miroir.

Terre de Brume

Depuis le Bouleversement, cataclysme qui a recouvert son monde d’une brume toxique en ne laissant que de rares survivants, Héra vit à Taho dans le Sanctuaire de Prêtres de l’eau, où elle apprend à maîtriser la magie pour devenir guerrière.
Au cours d’une mission, elle rencontre Intissar, une Sœur de Feu capable de communiquer avec les esprits. Intissar a bravé sa propre communauté pour venir avertir les habitants de Taho d’un terrible danger. Mais il est déjà trop tard : une vague de Brume, peuplée de créatures ni mortes ni vivantes, s’est levée… et frappe le Sanctuaire. Et elle frappera encore. Héra et Intissar s’allient afin d’empêcher leur monde de sombrer dans l’oubli.

Et mon numéro 1, mon gagnant, mon coup de cœur – La fille qui tressait les nuages de Céline Chevet (Chronique). Ce roman est mon petit bijou, il m’a fait vibrer, il m’a embarqué.

La fille qui tressait les nuages

Saitama-ken, Japon. Entre les longs doigts blancs de Haru, les pelotes du temps s’enroulent comme des chats endormis. Elle tresse les nuages en forme de drame, d’amour passionnel, de secrets. Sous le nébuleux spectacle, Julian pleure encore la sœur de Souichiro Sakai, son meilleur ami. Son esprit et son cœur encore amoureux nient cette mort mystérieuse. Influencée par son amie Haru, Julian part en quête des souvenirs que sa mémoire a occultés. Il est alors loin de se douter du terrible passé que cache la famille Sakai…

J’ai adoré participer au PLIB, j’ai aimé partager, j’ai aimé découvrir des romans vers lesquels je ne serais jamais aller parce que La fille qui tressait les nuages ne me tentait pas du tout au début et cela aurait été une erreur de passer à coté ! J’aurais adoré pouvoir participer à la campagne Ulule (malheureusement ce n’est pas tombé au bon moment financièrement pour moi) et à la remise de prix (que mon taf soit maudit !). Je croise les doigts pour pouvoir faire les deux l’année prochaine.

Je suis aussi admirative du travail bénévole que donne les organisateurs qui animent avec gentillesse et courage ce prix. Merci pour cette incroyable expérience ! A l’année prochaine.

Maintenant il ne me reste plus qu’à croiser les doigts pour mon coup de cœur ! Réponse le 12 octobre !

Je vous souhaite de très belles aventures livresques !

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